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Pourquoi faire appel à un traducteur professionnel ?

Un expert

 

Tout simplement parce que le traducteur est un spécialiste des langues maîtrisant des savoirs linguistiques mais aussi techniques (règles typographiques, gestion des formats de fichiers électroniques) dont ne disposent pas d'autres intervenants auxquels vous seriez tenté de faire appel (étudiants ou enseignants en langues étrangères, secrétaire bilingue, etc.). En outre, être bilingue (doué pour comprendre et s’exprimer dans une autre langue) ne garantit certainement pas une écriture fluide et la capacité à transposer le discours d’une langue dans une autre.

Réfléchissez-y : même si nous utilisons les ordinateurs tous les jours, pouvons-nous pour autant nous prétendre informaticiens ou développeurs ? Le même raisonnement s'applique pour les langues et la traduction...

Un atout

 

Une bonne traduction peut représenter un excellent investissement pour votre entreprise, mais une traduction ratée peut être une catastrophe : éventuelles conséquences juridiques ou commerciales, problèmes techniques, frustration du client, sans parler du fait qu’une communication négligée nuit à l'image de votre entreprise et de ses produits. Pensez à votre crédibilité sur le marché, et faites appel à un spécialiste !

Pour plus d'informations, consultez cette plaquette éditée par le syndicat national des traducteurs professionnels.

Une obligation

 

La traduction peut également naître d'une obligation légale. Ainsi, la loi n° 94-665 du 4 août 1994 (« loi Toubon ») mentionne dans son article 2 que : « Dans la désignation, l’offre, la présentation, le mode d’emploi ou d’utilisation, la description de l’étendue et des conditions de garantie d’un bien, d’un produit ou d’un service, ainsi que dans les factures et quittances, l’emploi de la langue française est obligatoire. Les mêmes dispositions s’appliquent à toute publicité écrite, parlée ou audiovisuelle ».

Ajoutons qu’une grande multinationale américaine a été condamnée en 2006 pour avoir utilisé l’anglais comme langue de ses communications internes. Le Code du travail (article L. 122‑39‑1) impose en effet l’usage du français pour « tout document comportant des obligations pour le salarié ou des dispositions dont la connaissance lui est nécessaire pour l'exécution de son travail ».

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